STEVEN CHAUDESAIGUES NOUS EMMÈNE NAVIGUER EN MER

UNE ADEPTE DU TRAVAIL DE STEVEN CHAUDESAIGUES

Lorsque Pauline a découvert le résultat du tatouage que Steven avait réalisé sur un de ses proches, elle a décidé qu’elle souhaitait désormais se faire encrer par votre tatoueur d’Avignon et personne d’autre. Ravie du tatouage de croix qu’il a réalisé pour leur première collaboration, elle s’est ensuite adressée à lui pour son projet de bras complet tout en couleur sur le thème de la mer.

LES MOTIFS DE SON TATOUAGE

L’aventure commune de Steven et Pauline a débuté à la convention de tatouage de Toulouse en janvier 2012, pour se terminer…en mai 2015 ! Entre ces deux dates, de nombreuses séances ont permis de placer un à un les éléments que souhaitait Pauline pour rendre hommage à son père marin et à sa passion pour la mer.

LA CATRINA SUR L’ÉPAULE

La Catrina est un motif traditionnel mexicain qui représente une femme squelette richement habillée. Elle est emblématique de la fête des morts mexicaine et destinée à rappeler que les différences sociales n’ont pas d’importance face à la mort.

La Catrina que Pauline a choisi de se faire tatouer est inspirée d’une oeuvre du peintre mexicain Gustavo Rimada, que Steven a modifiée : celle sur l’épaule de Pauline porte une marinière afin de rappeler le thème marin.

LE PHARE ET LA ROSE DES VENTS

Pour compléter le haut du bras de Pauline, a placé un phare sur l’extérieur du triceps, et une rose des vents dans une bouée sur l’intérieur du biceps. L’eau en fond et les roses viennent finir de combler les espaces vides.

LE BATEAU SUR L’INTÉRIEUR DE L’AVANT BRAS

Difficile de faire un bras complet sur le thème de la mer sans y intégrer un bateau ! Celui de Pauline prend place sur l’intérieur de son avant-bras, et est cerclé de lauriers ornementaux qui permettent de le mettre en valeur et d’intégrer parfaitement le motif au niveau de l’arrondi de l’avant-bras.

LE PORTRAIT SUR L’EXTÉRIEUR DE L’AVANT BRAS

Sur l’extérieur de l’avant-bras, Pauline a choisi de placer un portrait issu d’une autre oeuvre du peintre Gustavo Rimada : un torse de jeune femme avec un bateau sur la tête en guise chapeau. Le bas de son torse, qui est représenté en squelette, se termine en tentacules de pieuvre.

LA GUADELOUPE DANS LE COEUR…ET SUR LE POIGNET

Pour terminer son bras, Pauline souhaitait rendre hommage à l’ile dans laquelle elle a grandi : la Guadeloupe. Les contours de cette ile des Antilles viennent habiller son poignet avec le mot « Karukera », qui signifie en amérindien « ile aux belles eaux » et représente le surnom de la Guadeloupe.