Notre histoire

Le 08/10/2015 | Mis à jour le 14/08/2023

Graphicaderme : une histoire qui commence avec Stéphane Chaudesaigues

Figure tutélaire de ce style qu’on appelle le réalisme, artiste tatoueur reconnu depuis longtemps comme l’un des meilleurs en France mais aussi et surtout aux Etats-Unis, Stéphane Chaudesaigues s’installe comme tatoueur professionnel à Avignon en 1987. Il élit alors domicile sur la place Pignotte, à quelques minutes seulement du Palais des Papes. Le nom de son minuscule espace dédié à l’encrage ? Art Tattoo.

Du sud de la France…

Deux ans plus tard, le nom d’Art Tattoo se muera en un seul mot, entré de façon pérenne, depuis, dans le paysage du tatouage français : Graphicaderme. Les années suivantes, par souci de proposer des salons de tatouage alliant qualité et proximité, Stéphane Chaudesaigues développe l’enseigne. Avec l’ouverture d’un studio de tatouage à Orange en 1990, puis d’un salon de tattoo à Nîmes en 1994, suivi d’un espace à Vaison-la-Romaine en 1999, et d’un autre à Valence en 2003.

… à la Ville-Lumière

Pour satisfaire une demande croissante en provenance de la Ville-Lumière, Stéphane Chaudesaigues ouvre également à Paris, en 2006, un atelier de tatouage privé. Il le baptise La Bête Humaine (également connu sous le nom d’Atelier 168). Son emplacement ? Dans le ventre de Paris, entre le quartier du Marais et le centre Pompidou. Enfin, l’artiste, très attaché au Cantal, ouvrira un espace tattoo au cœur de la ville de Chaudes-Aigues, dans le sud de l’Auvergne.

Des grands noms du tattoo ont dit oui à Graphicaderme

Au sein de ces studios de tatouage, Stéphane Chaudesaigues, aujourd’hui fort de plus d’un quart de siècle d’expérience, a su s’entourer de collaborateurs de longue date et d’artistes de talent, tatoueurs comme pierceurs. En outre, le tatoueur se fait fort d’accueillir régulièrement dans ces studios, les plus grands noms de la scène mondiale du tatouage. Des exemples ? Shane O’Neill, Nikko Hurtado, James et Tim Kern, Dan Marshall, Liorcifer, ou encore Bugs. Et tout cela n’est encore qu’un début…

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