Tatouage Vaucluse : un tattoo Iron Maiden encré à Vaison-la-Romaine

Le 09/03/2017 | Mis à jour le 14/03/2017 Salon : Vaison la RomaineTatoueur : Joe Wild

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Tatoueuse au studio de tatouage Graphicaderme de Vaison-la-Romaine, Joe Wild s’est vu offrir l’opportunité d’encrer sur peau l’un des morceaux iconiques d’un groupe qui a forgé sa culture musicale : The Trooper d’Iron Maiden.

Fred et notre tatoueuse du Vaucluse : chapitre 2

Lorsque Fred pousse la porte de notre studio de tatouage du Vaucluse pour s’y faire encrer un tattoo Iron Maiden, il compte déjà parmi les habitués des lieux. Quelques mois auparavant, ce vigneron officiant à Rochegude dans la Drôme avait déjà accordé sa confiance à Joe Wild ; la tatoueuse avait réalisé sur lui un corbeau aux plumes noires et grises et aux yeux de jais.

The Trooper à l’honneur au studio de tatouage de Vaison Graphicaderme

Cette fois-ci, la tatoueuse et son tatoué ont délaissé le domaine de la flore pour celui du heavy metal. Ensemble, ils ont jeté leur dévolu sur la pochette du single culte d’Iron Maiden The Trooper, extrait de l’album Piece of Mind et paru en 1983. Inspirée d’un poème britannique du 19ème siècle, la chanson adopte le point de vue d'un soldat mort au combat – un vent macabre parfaitement restitué sur la jaquette de l’époque.

Tattoo in progress…

Notre tatoueuse du Vaucluse s’est attelée à coucher sur la cuisse de son client le protagoniste de ce single, un soldat sabre dans une main, drapeau brûlé dans l’autre. Résultat : un tatouage nuancé où les dégradés du pantalon tranchent avec le rouge sanglant de la veste… et un client heureux. Besoin d’une preuve ? Joe Wild et Fred s’attèleront très bientôt au fond de ce même tattoo, calqué lui aussi sur la pochette du single. Au menu : flammes, canon, faux et paysage désolé…

Notre ambassadrice du tatouage du Vaucluse fait peu de secrets quant à sa joie d’avoir pu travailler sur un projet lié à Iron Maiden. Musicienne autant que tatoueuse, Joe Wild raconte : "Quand j’avais 12 ans et que mes goûts musicaux s’éveillaient, on m’avait prêté un CD gravé sans nom ni jaquette, que j’écoutais en boucle. Parallèlement, dans les rayons disques, lorsque je croisais les CD d’Iron Maiden, j’étais choquée par la violence de leurs pochettes et je me disais que je ne pourrais jamais écouter ça. Jusqu’à me rendre compte, quelques mois plus tard, que l’album que j’avais autant écouté et aimé était signé… Iron Maiden. Je suis devenue fan et ne me suis plus jamais fiée à une pochette d’album !". Illustration en vidéo… et en musique :

Iron Maiden - The Trooper All Guitars (Joe Wild)

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