Tatouage jarretière
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Le tatouage jarretière : quand nos tatoueurs font dans la dentelle…
Bande de tissu qui, entourant la jambe par-dessus le bas, servait autrefois à maintenir celui-ci tendu, la jarretière a inspiré – et captivé – maints intellectuels depuis sa création, estimée entre le 12e et le 13e siècle. L’écrivain et journaliste américain Ambrose Bierce écrivait d’ailleurs à leur sujet : « La jarretière est un ruban élastique destiné à empêcher une femme de sortir de ses bas et de désoler le pays »… Qu’aurait-il dit si on lui avait révélé que, des années après sa mort, le tatouage jarretière était en passe de devenir l’un des ornements préférés de ces dames ?
Symbole de féminité par excellence, la jarretière, désormais, s’encre définitivement sur l’épiderme de madame. Avec le tattoo jarretière, la région du corps est prédéfinie par l’usage-même que l’on faisait de ce petit morceau d’étoffe : c’est la cuisse qui accueille cette pièce circulaire, plus ou moins étoffée selon vos goûts et vos désirs.
Avec ou sans nœud ?
Marque de délicatesse et de finesse, le tatouage jarretière dentelle jouit d’une formidable popularité : difficile, en effet, de résister à ce tissu ajouré, où le fond de réseau formé par l’entrelacement de fils, permet à des motifs décoratifs de se détacher. Homogène ou ponctué d’un nœud, en noir et gris ou en couleurs, teinté de réalisme ou penchant vers le graphique, il peut même, pour les plus ambivalentes d’entre vous, se parer d’un discret revolver…
Besoin d’idées pour ce petit ruban élastique cousu par nos dermographes ? Pour votre modèle, n’hésitez pas à consulter notre galerie d’images et de photos que nous lui avons dédiée. À très vite !
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